par YAZ » 30 décembre 2010, 09:19
J'avoue avoir hésité entre trois jeux :
- Atlantis 2 et sa magie fabuleuse, ses graphismes qui m'avaient subjugué à l'époque (tant dans la modélisation des lieux que des personnages, ou les animations intégrées aux images fixes qui donnaient de la vie comme jamais)
- Escape From Monkey Island Monkey Island, pour son scénario toujours incroyable où se mêlent réflexion et humour, truffé de trouvailles de génie qui proposent un jeu d'exception qui restera dans ma mémoire. Surtout pour le fabuleux moment de la gestion du temps ... Vraiment que du bon !
- The Longest Journey, pour ce jeu entièrement irréprochable selon moi, où la technologie côtoie la magie, où la douceur de l'héroïne m'a initié à la beauté, l'onirisme que je n'ai pu retrouver que dans les Syberia.
J'ai hésité, mais j'ai fini par opter pour TLJ. Probable que la musique, l'ambiance des premiers instants du jeu et de cet arbre qui se meurt, de la magnificence des décors, de la profusion des dialogues, ... aient su faire pencher la balance. Chose amusante, je me souviens qu'il m'avait fallu à l'époque patcher tout mon équipement (DirectX, pilotes graphiques et sonores, ...) car initialement, la jeune héroïne s'amusait à déambuler dans le jeu sans son pantalon : les textures de son jean sautaient à chaque fois et passaient en transparence. Que de souvenirs !

J'avoue avoir hésité entre trois jeux :
- Atlantis 2 et sa magie fabuleuse, ses graphismes qui m'avaient subjugué à l'époque (tant dans la modélisation des lieux que des personnages, ou les animations intégrées aux images fixes qui donnaient de la vie comme jamais)
- Escape From Monkey Island Monkey Island, pour son scénario toujours incroyable où se mêlent réflexion et humour, truffé de trouvailles de génie qui proposent un jeu d'exception qui restera dans ma mémoire. Surtout pour le fabuleux moment de la gestion du temps ... Vraiment que du bon !
- The Longest Journey, pour ce jeu entièrement irréprochable selon moi, où la technologie côtoie la magie, où la douceur de l'héroïne m'a initié à la beauté, l'onirisme que je n'ai pu retrouver que dans les Syberia.
J'ai hésité, mais j'ai fini par opter pour TLJ. Probable que la musique, l'ambiance des premiers instants du jeu et de cet arbre qui se meurt, de la magnificence des décors, de la profusion des dialogues, ... aient su faire pencher la balance. Chose amusante, je me souviens qu'il m'avait fallu à l'époque patcher tout mon équipement (DirectX, pilotes graphiques et sonores, ...) car initialement, la jeune héroïne s'amusait à déambuler dans le jeu sans son pantalon : les textures de son jean sautaient à chaque fois et passaient en transparence. Que de souvenirs ! :^^: