laya28 a écrit :question calorique avec la cuisine italienne tu vas être servie!
:lachtot:
Si tu ne veux pas grossir avec la cuisine italienne, alors il suffit de réduire la portion dans l'assiette, et de faire des légumes à côté. Le plat que j'ai décrit si dessus peut-être par exemple accompagné d'asperge vertes, dont c'est la saison, en ce moment.
J'équilibre tous les repas à la maison avec des légumes non-frits (vapeur, cuisson à l'eau, revenus sans matière grasse dans une poele spéciale, etc.) Ca marche bien.
De toutes façons, les calories ne représentent qu'une partie du problème de l'équilibre alimentaire. On a souvent des idées assez fausses sur la cuisine. La diététique n'a jamais qu'une cinquante d'années de recherche derrière elle... Il y a tellement de paramètres qui ne sont pas pris en compte, dans un régime calorique... Mieux vaut aller chez un diététicien, ou lire un peu à ce sujet, si on tient à tout prix à faire attention à son alimentation...
Je soigne beaucoup de choses à la maison à partir de la nourriture ingérée, grâce aux condiments, notamment.
Puis-je par ailleurs rappeler que la cuisine du sud n'est pas forcément synonyme de vie courte : le régime crétois est par exemple porté aux nues, depuis quelques années... Non sans raison, même s'il s'agit cependant d'adapter son alimentation au lieu d'habitation, à son métier, etc. Titou par exeple est chef d'entreprise dans le bâtiment, et travaille sur les chantiers qu'il décroche en tant qu'artisan : si je le nourris de carotte et de salade, je pense qu'il aura beaucoup trop de carences pour survivre longtemps au régime alimentaire imposé... De plus, nous, nous vivons à la montagne : il y fait un poil plus frais que dans les plaines, et nous avons besoin d'une nourriture qui nous tient mieux au corps que lorsque nous vivions en région parisienne...
La véritable clef d'un régime c'est avant tout de considérer les besoins alimentaires réels : ne pas les prendre en compte est un risque, et pas seulement de ne juste pas réussir à perdre du poids, ce qui n'est jamais que l'aspect psychologique de cet acte, mais un risque avant tout sanitaire, les carences pouvant tuer aussi sûrement que de manger trop ceci ou cela...