-Au café de la chandelle verte, début du jeu, une 2eme table à examiner (dans l'original, une seule pouvait l'être) , toutefois, il dit la même ligne de dialogue pour les 2 tables
-A l'eglise de Montfaucon, le baton de la statue qui tient le parchemin (je n'ai pas le souvenir qu'on pouvait l'examiner dans l'original)
-La chambre de Marquet avant de lui parler (4 élements cliquables, ce qui débloque un succes Steam d'ailleurs)
-Après le vol de trepied au musée, aller voir Rosso, il nous raconte qu'il ont trouvé le cadavre de Peagram en partie mangé par les poissons... (je ne crois pas que c'était dans l'original ça !)
-La chaîne de toilette est conservée dans l'inventaire après le passage en Syrie... on peut donner l'objet à Nico (j'ai essayé aussi de sortir de l'appartement avec mais elle disparait de l'inventaire)
-Dans le train, nous avons la barre de fer, le nez rouge, la photo, le vibreur, la carte d'electricien et des billets de trains (dans le jeu original, seul le nez rouge était présent)
-Nous pouvons discuter de tous ces objets avec Nico, "la vieille dame" (sans les billets de trains) et le hooligan (sans les billets de trains) dans le wagon à côté pour des lignes de dialogues supplémentaires
-Quand on arrive à Stirling, la dernière ligne droite avant la fin, tous nos objets disparaissent sauf le nez rouge et les billets de trains (dans l'original, on avait que le nez rouge a ce moment la)
-On peut donc parler de nouveau des billets à Nico
-Je tenais à dire quand même que la cinématique de fin a été retravaillée , il y a plus d'animations, c'est franchement épique (malheureusement comme dans l'original , la VF coupe des lignes de dialogues notamment quand Rosso se prends une balle, ça nuit à l'immersion)
-Enfin après les credits du jeu, nous avons droit à 1 min de lignes de dialogues supplémentaires, ce sont différentes scènes ou George montre un objet à un moment ou il est censé ne plus l'avoir ou un objet qu'il recupere plus tard pour le montrer à un personnage vers le début du jeu (je vous laisse découvrir ça si un jour vous le faites)
